A Bittou, le second étage du lycée a été construit mettant un point quasi final au programme de création d’un foyer de jeunes filles initialement, puis d’un collège et enfin d’un lycée (voir la photo d’en-tête de cette page).

Nous avons visité les lieux en janvier dernier: le bâtiment est superbe et… l’accueil qui nous a été réservé a été exceptionnellement chaleureux.

A Goundri, à Ougadougou, notre programme de soutien en investissements du programme mené par l’école et la Fondation allemande Tua Res qui parraine 140 filles venant de milieux très défavorisés (le parrainage couvre le toute la scolarité mais aussi les frais de subsistance journalier, les parents ne pouvant y subvenir) dans le secondaire: Chaque année , depuis 3 ans, nous construisons et aménageons une classe. Nous en sommes à la quatrième.

A Diebougou, le programme d’éducation des filles de la brousse se déroule pour la 3eme et dernière année du programme (30 filles par an) et pour le second cycle de trois années (nous l’avons accompagné pendant 6 ans). Lors de notre visite en janvier, nous avons pu constater qu’il se déroulait correctement mais  des ouvertures de mine d’or dans le secteur rendent plus difficile le recrutement des filles (qui vont suivre les orpailleurs) qui mettent en question la continuation du programme. Une orientation est en cours d’examen privilégiant l’ apprentissage en couture et broderie.

A Pouytenga, nous avons visité toujours en janvier 2017 l’école primaire de St Robert Bellarmin pour laquelle , grâce à l’aide de l’association Talents et Partage, nous avons pu construire un nouveau bâtiment de trois classes. Des difficultés administratives liées à de sérieux problèmes de trésorerie de l’ Etat Burkinabé ont empêché l’utilisation du bâtiment comme prévu mais une solution a été trouvée pour la rentrée prochaine.

Le nouveau bâtiment de l’école St Robert Bellarmin à Pouytenga

A Kordié près Koudougou, nous avons pu visiter les centres d’alphabétisation installés dans plusieurs villages autour de Kordié et discuter avec les populations des programmes. Curieusement, 90% des participants sont des femmes et quelques jeunes hommes mais pratiquement aucun homme d’âge mur. Il y a là un problème.

Les filles dans le local d’alphabétisation près Kordié